Je suis sensible à l'argumentation de M. Garot, qui lève les craintes qu'il était possible d'avoir à la lecture de l'amendement. Il ne s'agit pas d'imposer. Les exemples donnés par M. Garot, notamment celui du pain, montrent qu'il s'agit de se donner des objectifs, et réussir ensemble, collectivement, en entraînant l'ensemble des acteurs. Ça peut marcher, et il est important d'y réfléchir encore, lors de l'examen par la commission saisie au fond ou en séance, car cela soulève de très importantes questions de santé publique.