Comment, en tant que président de l'AFITF, comptez-vous traduire l'orientation, affirmée à plusieurs reprises par le Président de la République de réorienter la stratégie d'investissements pour le ferroviaire, à savoir limiter les nouveaux grands projets et concentrer les efforts d'investissements sur l'entretien du réseau existant et la réduction de la fracture territoriale ?