Sur le fond, je partage l'idée qu'il faut avancer mais le coût est réel pour les collectivités, qu'il s'agisse de matériaux réutilisables, comme le verre ou l'inox, ou recyclables, comme l'amidon de maïs. Un beau plan de filière est à élaborer pour valoriser nos productions agricoles, car il n'y a pas à ce jour de brevet déposé, pas de test vérifié de la possibilité de réchauffer ou de mettre au froid ces produits dans de bonnes conditions. Il faut donc que la recherche avance.
Par ailleurs, les collectivités citées par Mme Rossi sont des villes importantes, parfois même de grandes métropoles, qui n'ont pas eu besoin de la loi pour avancer. Il faut faire comprendre aux autres, grâce à l'échange de bonnes pratiques plutôt que par la contrainte, que nous pouvons avancer ensemble.