Notre conviction est que l'alimentation n'est pas une marchandise comme les autres.
Pour tout être humain, le droit à une alimentation suffisante, sûre et saine doit être garanti. L'échange commercial qui se produit autour de l'alimentation n'est donc pas un échange économique comme les autres. Il faut ici appliquer le même principe que pour l'exception culturelle, en fondant une exception « agri-culturelle ». Seul ce nouveau regard permettra la naissance de nouveau paradigme que le Président de la République a appelé de ses voeux dans son discours à Rungis.