Madame la rapporteure pour avis, je ne verrais aucun inconvénient à ce que le dispositif soit élargi à davantage de collectivités. Notre critère doit être cependant celui des moyens dont disposent les collectivités, dont les achats sont aujourd'hui guidés par des considérations principalement économiques. Si la « malbouffe » se développe, c'est aussi parce que les produits de deuxième catégorie sont moins chers.