C'est ce que nous avons fait en adressant une note à la Commission européenne dès le mois de janvier dernier. Nous avons ainsi obtenu la réunion du comité d'experts le 16 avril : attendons ses conclusions.
Faisons confiance à ces démarches entreprises par l'Union européenne, et faisons preuve d'esprit de cohérence, car, là encore, nous pourrions avancer le principe de précaution sur notre seul territoire ; mais tâchons d'entraîner nos partenaires avec nous. C'est ce que nous essayons de faire avec le glyphosate en rassemblant d'autres États afin d'obtenir une durée inférieure à celle décidée par Bruxelles.