Ne pas intégrer à ce projet de loi la mise en place du contrôle vidéo dans les abattoirs, qui constituait pourtant une proposition figurant dans le rapport rendu par la commission d'enquête parlementaire présidée par M. Olivier Falorni, adopté à la quasi-unanimité fin 2016, constitue un symbole – fort, comme le sont tous les symboles en politique –, qui inciterait les activistes à affirmer que tout continue comme avant : nous irions alors au-devant de graves difficultés.
Le 23/04/2018 à 03:40, Stéphane Thomas (Prolétaire) a dit :
Sans compter qu’avec les lois sur le secret des affaires, des abattoirs pourront poursuivre des employés qui dénonceraient des délits, en filmant en caméra cachée par exemple.
Votre mouvement va au-devant de graves difficultés en agissant contre les intérêts du peuple, ça ça ne fait aucun doute…
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