L'engagement du Président de la République va de pair, je crois, avec la possibilité de recourir à des substituts au glyphosate. S'il n'y en avait pas, des dérogations seraient envisageables. En l'état, tant que nous ne sommes pas certains de pouvoir disposer de produits de substitution au glyphosate, l'inscription de cette interdiction dans la loi me paraît un peu prématurée.