Je me permets d'insister sur la gratuité proposée par Mme Bérangère Abba. Ne nous méprenons pas : lorsqu'un restaurateur donne les restes de l'assiette commandée par le client, c'est évidemment gratuit et cela doit le rester. Voilà pour le « doggy ». Mais le bag, l'emballage, est réutilisable, il ne sera pas nécessairement en carton, et il a un coût.
Je suis favorable à 200 % à la généralisation des doggy bag, mais il faut éviter d'être trop précis dans la formulation. Si l'on veut que le dispositif soit efficace, il faut laisser les restaurateurs organiser la mise en oeuvre du doggy bag.