J'ai deux réserves sur ces amendements. Premièrement, ils relèvent du projet de loi de finances plus que d'un amendement à adopter par notre commission. Deuxièmement, le critère de « haute valeur environnementale » est davantage un moyen qu'une fin. Or le bio est une fin en soi, c'est tout un processus de transformation. Je peine donc à cerner la nécessité de placer le crédit d'impôt au même niveau.