Le sous-amendement CD188 vise à renforcer le rôle de l'ARAFER pour garantir la primauté du droit d'accès aux modes de transport les moins émetteurs de gaz à effet de serre.
Le secteur privé n'exploite que les lignes qui ont pour lui un intérêt économique. Trois heures sont nécessaires pour relier Lyon à Guéret en voiture ; et comme les « cars Macron » ont supprimé l'arrêt à Guéret en raison du manque de voyageurs, ceux qui n'ont pas de voiture en sont réduits à faire neuf heures trente de train, avec trois changements !
Nous voulons que l'ARAFER joue un rôle d'arbitre en faveur de la transition écologique.