J'ai dit que ce n'est pas au Gouvernement de décider de l'avenir des lignes. Si l'on pouvait cesser les procès d'intention où l'on nous suspecte de vouloir un transfert global de lignes : ce n'est pas la proposition du Gouvernement ! J'ai seulement dit qu'il me semblerait présomptueux que ce soit le Gouvernement, à Paris, qui décide du sort des lignes. Je ne peux donc me rallier à la rédaction de l'amendement de M. Christophe Bouillon qui demande un rapport sur l'avenir des lignes.