Il y a donc, par conséquent, urgence à agir. Il ne s'agit pas seulement d'une échéance technocratique : l'ouverture à la concurrence est en effet prévue dès décembre 2019. Il y a donc bien urgence à agir.
Du reste, les derniers incidents, comme les difficultés vécues par les voyageurs au cours de leurs transports au quotidien, nous confirment cette urgence. C'est pour cette raison que le Gouvernement a fait le choix d'une concertation d'une durée de deux mois et de trois mois de débats parlementaires.