On enregistre chaque année un déficit de 3 milliards d'euros, dont 1,5 milliard de frais financiers : même si l'on enlève ceux-ci, on voit bien que la trajectoire n'est pas équilibrée. L'enjeu est donc de traiter cette dette, sans avoir à y revenir régulièrement ; cela fait l'objet d'un travail en cours avec la SNCF. Le statut de société nationale à capitaux publics permettra de responsabiliser chacun et d'éviter que la dette ne se reconstitue.