Madame la ministre, vous ayez qualifié de postures de principe les positions que nous avons défendues ici. Je le regrette, et je ne me permettrai pas de faire de même à votre égard. Je pense que nous avons un vrai désaccord politique, des projets qui s'opposent et qui valent mieux que ce qualificatif. Il y a un vrai débat dans ce pays sur les solutions à mettre en oeuvre, et sur les solutions libérales d'ores et déjà mises en oeuvre dans de nombreux domaines. Il faut respecter la noblesse de ce débat d'idées et de projets, où des solutions alternatives sont proposées, qui diffèrent d'ailleurs selon les bancs où elles sont défendues. Il faut admettre que votre solution n'est pas la seule si on veut avancer sur le chemin de la démocratie.