Je reviens à la question des télécommunications militaires que vous avez évoquées avec les trois programmes structurants que sont CSO pour l'observation optique, CERES pour l'observation électromagnétique et Syracuse 4 pour la modernisation des télécommunications militaires. Beaucoup de nos systèmes d'armes nécessitent de la bande passante pour fonctionner, qu'il s'agisse du pilotage des opérations aériennes depuis Mont Verdun, du programme Scorpion pour l'armée de terre ou du fonctionnement des drones. Pouvez-vous nous en dire davantage sur Syracuse 4, notamment sur l'articulation entre la DGA, le CNES et les industriels retenus ? Quels sont les gains capacitaires attendus en termes de couverture et de débit ?