Je conclus, madame la présidente. Ce projet de loi affaiblit les droits de personnes fragiles. Il fait douter du message de notre pays ou plutôt il donne à voir le double visage d'une République qui paraît tournée vers l'avant mais agit en tirant vers l'arrière. Nous souhaitons, monsieur le ministre d'État, que vous soyez plus attentif à nos propositions afin de faire avancer la République différemment.