Les associations, ensuite, qui vivent au plus près les situations des personnes qu'elles accompagnent, mais aussi les services de l'État et nos forces de l'ordre qui, en raison de sentiments contradictoires – que traduit la loi – doivent faire face à un système d'une complexité extrême menant au désespoir ceux qui doivent le mettre en oeuvre.
Enfin, il en est ainsi de la société tout entière dont certains, ici même d'ailleurs, se jouent à coup de discours simplistes : ce sont toujours les mêmes, ils changent de visage et parfois même de nom mais, sur ce sujet, vous constaterez qu'il y a toujours un moralisateur, un parangon de vertu qui vous assomme d'une générosité qu'il n'est pas en mesure d'assumer et puis, face à lui, il y a aussi et toujours celui qui crie au loup, menace de prophéties fantasmatiques et détourne nos héros de façon triste et odieuse, de Jeanne d'Arc à de Gaulle parfois.