Madame Marie Guévenoux, je vous remercie pour votre intervention. Vous comprenez que la situation est devenue insupportable pour tous, parce que, comme vous l'avez rappelé, nos lois ne nous permettent pas de dire assez tôt qui a droit à l'asile et qui n'y a pas droit. Comme vous l'avez indiqué, vous m'avez accompagné en Albanie, tandis que certains de vos collègues sont venus avec moi au Niger, à Niamey. Vous savez donc qu'avec ces pays, nous avons des visions non pas contradictoires mais complémentaires.