Monsieur Jean-Louis Masson, j'ai apprécié vos propos car j'aime beaucoup la prétérition comme figure de style, et celle que vous avez employée m'a séduit stylistiquement. Mais non, nous ne sommes pas immobiles ! Regardez ce que nous avons fait depuis le début de cette législature ! Nous avions un problème avec quelques pays d'Europe, avec les dysfonctionnements que j'évoquais tout à l'heure ; nous l'avons résolu. Nous étions, du fait d'un arrêt de la Cour de cassation, dans l'impossibilité d'éloigner les « dublinés » ; nous avons mis à l'ordre du jour la proposition de loi Warsmann…