Vous cédez une deuxième fois face aux zadistes en renonçant à les évacuer une fois pour toutes. Non seulement la ZAD n'a pas été évacuée, mais les zadistes, profitant de votre faiblesse, sont chaque jour un peu plus nombreux à venir défier l'autorité de l'État. La situation est aujourd'hui complètement enlisée et votre gouvernement semble impuissant. Pire : l'ordre républicain est bafoué délibérément par quelques individus ultra-violents. On assiste même à des scènes de guérilla, avec jets de bombes artisanales, d'acide ou de cocktails Molotov sur les gendarmes !