Ce déblaiement, monsieur le député, est indispensable si l'on veut que les terrains puissent, à terme, retrouver leur vocation agricole.
Après avoir expulsé l'ensemble des occupants à l'est de la route no 80, nous avons indiqué aux occupants illégaux – qui pensaient peut-être que l'État agirait comme il l'avait fait pendant si longtemps, monsieur le député, c'est-à-dire sans respecter ses engagements – qu'ils pouvaient rentrer dans la légalité à condition de le faire rapidement.