Bien sûr que si, monsieur le député ! Il aurait fallu que vous écoutiez la première partie du propos, que je suis prêt à répéter une seconde fois si vous le souhaitez.
Jamais la dépense publique n'aura autant diminué ces dernières années, ce qui permettra à la baisse des prélèvements obligatoires de n'être pas « en peau de lapin », pour reprendre l'expression d'un grand auteur