Elle sera bien réelle, puisqu'elle s'accompagne d'une baisse de la dépense publique. Elle se poursuivra, de façon que les prélèvements obligatoires ne représentent pas plus de 44,4 % du PIB en 2022, soit une baisse d'1 point, comme promis par le Premier ministre lors de son discours de politique générale. Enfin, M. le ministre de l'économie et des finances l'a dit, nous travaillons également à diminuer un certain nombre de taxes de production, que nous pouvons diminuer encore plus que nous ne le faisons de la dépense publique et du déficit. Et nous aurons bientôt à discuter, sujet auquel je comprends que les parlementaires s'intéressent, de la refonte de la fiscalité locale, après la remise de leur rapport par MM. Alain Richard et Dominique Bur au terme de leur mission.