Oublions le pacte de stabilité qu'Antonio Vitorino, commissaire portugais, qualifiait en son temps, non sans raison, de pacte de stupidité ; l'objectif sur lequel nous nous sommes engagés dans le traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance est beaucoup plus subtil mais également beaucoup plus exigeant. Sur ce plan, nous sommes encore au bas de la falaise, il faut le savoir.