Or, même si le statisticien européen, ce que je ne souhaite ni ne crois, assimile la recapitalisation d'Areva à 0,2 point de dépense publique, eh bien, nous resterons, quoi qu'il arrive, sous les 3 %, si bien que nous pouvons présenter un programme de stabilité qui permet de parler non plus du passé mais de l'avenir, celui de l'équilibre des comptes publics.