L'ASN dispose cependant aujourd'hui d'importants moyens de coercition. Elle l'a d'ailleurs montré ces derniers mois : elle peut faire arrêter un réacteur, voire une centrale ; elle peut aussi ne pas délivrer des autorisations. Elle nous l'a confirmé à l'occasion de son audition.
L'ASN a donné l'autorisation pour la cuve de l'EPR, le GV de Fessenheim, etc. Comment interprétez-vous cela ? Selon nous, l'autorité a des moyens de coercition qui leur permettraient de ne pas donner ces autorisations.