Beaucoup a été dit sur ce texte. Un article récemment publié par Le Monde l'indiquait : « selon une étude menée par l'éditeur de logiciels Senzing en janvier, moins de la moitié des entreprises européennes étaient considérées comme étant “prêtes”, et en France moins d'un cinquième des entreprises se disaient très confiantes face aux obligations du RGPD ». Le débat reste vif quant à la place des algorithmes dans les administrations et l'âge du consentement au traitement des données, ce sont là des questions essentielles.
Pensez-vous cependant que les travaux de nos deux chambres permettront l'instauration de dispositifs permettant effectivement la mise en oeuvre du RGPD ?