Je termine, madame la présidente.
Cela s'appelle du machisme, de la misogynie et de la contrainte sociale. Ces jeunes femmes doivent d'autant plus être protégées qu'elles sont les cibles de prédilection des fanatiques. Je souhaite savoir ce vous envisagez de faire car, en la matière, je n'ai rien vu dans votre texte.