Je retiendrai la proposition de Mme Valade, qui consiste à approcher le développement durable par les circonscriptions et non par l'Assemblée nationale, pour sensibiliser les députés. Plusieurs députés se sont déjà investis dans des problématiques environnementales assez fortes, comme celle des dépôts sauvages, en co-construisant des solutions avec les élus locaux. Présenter des exemples me semble particulièrement pertinent. Celui de la ville de Rennes, notamment, est extraordinaire. Celle-ci a été plusieurs fois capitale française de la biodiversité. Elle a engagé des actions traitant à la fois de l'environnement et du développement durable, pour faire mieux vivre la ville, afin que l'on y respire et s'y sente bien.
Je retiens également l'idée d'un club publicprivé. Si nous y sommes invités, nous y participerons.
Par ailleurs, l'on nous pose souvent la question des investissements qu'il convient de consentir lorsque l'on s'engage dans une démarche RSE. Je pense aux investissements financiers, mais aussi aux investissements humains. Quelle est votre réponse sur ce point ?