Le présent amendement vise à ouvrir le bénéfice de la protection subsidiaire aux déplacés climatiques, dont le nombre devrait atteindre, selon la Banque mondiale, 143 millions d'ici à 2050 dans les zones en développement, en raison de la montée des eaux, de l'intensification des sécheresses, de l'érosion des côtes et de phénomènes qui touchent l'environnement de ces régions sur le long terme. Le Président de la République l'a rappelé devant l'ONU, les migrations sont politiques, climatiques et ethniques.