Trois campagnes ont permis de faire en sorte que les personnes ayant travaillé avec l'armée française puissent venir en France avec des visas. Aujourd'hui, certaines personnes demandent l'asile, ce qui n'a évidemment rien à voir. Ceux qui prouvent qu'ils ont servi l'armée française peuvent obtenir des visas, mais ils ne relèvent pas de l'asile. Entre 2013 et 2015, 555 personnes ont été concernées.