Pas tous, en effet, mais certains le sont ; ces cas existent ! Ils sont éventuellement placés, à un moment donné, dans en centre de rétention administrative. Ils en partent, au moment où ils devraient être dans l'avion. Donc, ils ne quittent pas le territoire. Ils vont vivre pendant quelques semaines dans un camp et reviennent, par exemple un mois et demi plus tard, en disant qu'ils disposent de nouveaux éléments et qu'ils souhaitent déposer une nouvelle demande d'asile. À ce moment-là, la préfecture est obligée de réexaminer leur dossier. Or ils savent très bien qu'il n'y a aucune chance que leur demande aboutisse. Et c'est de cette façon qu'ils arrivent à se maintenir en France, encore et encore, et continuent à toucher les aides, tout cela jusqu'à ce qu'ils soient régularisés, au détriment de l'accueil des gens qui sont vraiment en danger dans leur pays. Alors, au lieu de nous accuser d'être inhumains, balayez devant votre porte !