Monsieur le ministre, « ventre affamé n'a pas d'oreilles ». Je ne doute pas que, durant cette pause, vous aurez pu vous restaurer et que vous saurez entendre ma question. Nous avons rencontré tout à l'heure un problème au sujet des quotas, qui seraient éventuellement prévus en Guyane, en passant le taux d'acceptation des demandes d'asile de 92,8 % à 92 %, comme l'aurait déclaré le Président de la République.