Après nos débats, il me semblait que nous étions quand même d'accord sur certains points touchant aux causes des migrations forcées, à leur caractère global et à la nécessité d'avoir une vision d'ensemble du phénomène avant de s'attaquer à ses causes. C'est, en tout cas, notre perspective.
Il est assez curieux et problématique que l'entrée en France de ces réfugiés soit aujourd'hui imputée à l'action de citoyens comme Martine Landry, une femme de soixante-treize ans, militante d'ATTAC, …