Cet amendement porte sur le consentement des personnes à la tenue des vidéo-audiences.
Si accroître le recours à la vidéo-audience est nécessaire pour réduire certains délais, ou pour le confort de certains demandeurs d'asile, cette procédure ne convient pas à tous les requérants, notamment ceux qui ont besoin d'un contact humain pour délivrer un récit souvent douloureux. Il est donc nécessaire de toujours recueillir le consentement des personnes plutôt que d'imposer systématiquement la vidéo-audience.