J'entends bien vos arguments et je les comprends : la réalité s'impose à nous et il y a en effet des compétences rares en matière d'interprétariat. Dans ces cas-là, la vidéo-audience n'est peut-être pas adaptée. Ne faudrait-il pas envisager des exceptions à la vidéo-audience de façon que l'interprète soit systématiquement aux côtés du requérant ?