Le tir de mon collègue Alain David était peut-être trop long ou trop court, s'agissant du FAMAS, et je me permets donc une seconde tentative.
Plus sérieusement, nous sommes à un moment où nous allons devoir prendre des décisions essentielles. La situation que vous l'avez décrite n'a jamais été aussi « chaude » depuis la Guerre froide, et de manière ubiquitaire. Quel est, dans ce contexte, notre niveau de dépendance par rapport aux États-Unis ? Et quel est le niveau du risque biologique dans le monde ? C'est ce qui coûte le moins cher à produire et est le plus difficile à arrêter.