Ces amendements insistent sur la structuration des filières outre-mer. Or les filières n'ont pas d'existence juridique. Je n'ignore pas que nous avons besoin de structurer, de densifier et de massifier l'offre dans les outre-mer. Tout un travail est engagé dans ce but.
La question du revenu des agriculteurs concerne aussi nos territoires d'outre-mer où toutes les dispositions de ce texte s'appliquent. Quant aux dispositions du code rural et de la pêche maritime, relatives aux accords interprofessionnels sur l'agriculture et l'alimentation, elles sont de portée générale. Elles s'appliquent en Guadeloupe, en Guyane, à la Martinique et à La Réunion.
Pour ces raisons, je demande le retrait de ces amendements.