L'amendement du Gouvernement et le sous-amendement du rapporteur visent à supprimer la suppression de « notamment » (Sourires.), ce qui est justifié : il ne faut pas exclure d'autres éléments de renégociation qui pourraient être légitimes afin de rémunérer les producteurs au juste prix. L'augmentation des coûts de l'énergie, du fait de la hausse déjà observée – mais aussi à venir – du prix des carburants, que la majorité a décidée, et de l'abandon du nucléaire, peut à elle seule justifier des renégociations. Or, nous connaissons un échec indéniable à l'heure actuelle : les indicateurs et les seuils de déclenchement sont déconnectés de la réalité. On doit s'assurer qu'ils seront bien pertinents demain.