Il doit y avoir concertation sur la nature et le type de produits concernés. C'est pourquoi nous ne souhaitons pas les fixer dans l'habilitation. Ce sera prévu par l'ordonnance en fonction des besoins et après appréciation de la valeur des produits dans chaque territoire ultramarin. Étant donnée la fragilité du tissu agricole et commercial outre-mer, mais également la fragilité du pouvoir d'achat de nombreux concitoyens ultramarins, nous souhaitons travailler ce dispositif dans le cadre d'une concertation avant d'intégrer certaines dispositions.