Or vous le refusez ! Je veux dire... Qu'est-ce qu'on va faire ? On va devoir demander un scrutin public pour chaque vote ? Ça va nous prendre un temps fou, alors qu'il suffirait d'y regarder de plus près quand il y a une hésitation. Monsieur le président, vous avez le droit d'hésiter, d'avoir un doute ; vous n'avez pas la science infuse. J'ignore si vous êtes géomètre de profession, mais vous ne pouvez peut-être pas savoir exactement ce qui se passe dans la salle de cette manière, au doigt mouillé. Dès lors, mettant de côté tout orgueil excessif, vous pouvez dire : « O. K. , on recompte, et puis c'est tout.