Loin de moi l'idée d'être méprisant à votre égard, madame Panot : si c'est le sentiment que vous a laissé mon propos, je vous prie de m'en excuser. Je précise simplement que les statistiques que vous avez évoquées l'ont déjà été à maintes reprises dans cette commission. Vous n'en avez donc pas le monopole, même si vous êtes parfaitement autorisée à les répéter où vous le souhaitez.