La France a pris une initiative au niveau européen. C'était un engagement des États généraux de l'alimentation. Un comité d'experts s'est tenu lundi dernier. La Commission a accepté de faire procéder à une évaluation scientifique. Il est nécessaire d'avoir une démarche européenne à ce sujet, sachant que le dioxyde de titane est beaucoup moins utilisé dans l'alimentation que dans les cosmétiques. Je demande donc le retrait de ces amendements, auxquels je suis défavorable.