Le législateur, oui, mais l'État est là aussi. Il est le garant du respect des engagements pris dans les plans de filière. On ne peut pas dire que rien n'est fait. J'ai parlé de la castration chimique, mais est-ce que les consommateurs en veulent ? Il faut trouver des alternatives à la castration à vif, nous le faisons en bon ordre, avec l'interprofession, qui pourra se décider rapidement car cela fait partie de ses engagements dans les plans de filière.