Comme je l'ai dit tout à l'heure, il y a un problème d'éloignement géographique des abattoirs et des services de l'État. Faut-il agréer un certain nombre de vétérinaires libéraux pour pouvoir faire de l'abattage d'urgence dans des lieux déconcentrés ? C'est une question sur laquelle le ministère doit vraiment se pencher.
Si l'on veut permettre la diversification de notre agriculture dans les territoires, réintroduire l'élevage dans des territoires plutôt céréaliers, il faut offrir des solutions plus souples et plus réactives pour les animaux qui glissent, qui se blessent, bref : pour les accidents du quotidien.