J'entends parfaitement ce vous dites. Il faut en effet veiller à ce que cela ne se transforme en charges supplémentaires pour les agriculteurs. Nous poursuivons deux objectifs : réduire l'utilisation des produits phytosanitaires – ce sur quoi tout le monde peut être d'accord – et trouver des mécanismes susceptibles de simplifier la vie des agriculteurs.
Monsieur Turquois, j'ai bien compris que, face à une problématique donnée, il faut aller chercher un produit spécifique pour un traitement particulier. Il faudra regarder avec les filières, avec celles et ceux qui vendent et qui produisent ces produits, quelles adaptations sont possibles. Nous devons travailler sur cet article, de manière à pallier les difficultés que vous avez mentionnées.
Je tiens enfin à rappeler, parce que c'est politiquement important, que c'est un engagement fort que le Président de la République a pris pendant sa campagne. Or, depuis le début de ce quinquennat, nous avons l'habitude de dire ce que nous faisons, et de faire ce que nous avons dit que nous ferions.