Notre objectif est le même que celui de Mme Batho, mais la distance est de deux cents mètres au lieu de cent mètres. Des études menées dans des habitations et des écoles ont parfois détecté plus de dix résidus de pesticides, y compris des pesticides interdits depuis des années. J'entends la réponse du ministre, mais je ne retirerai pas notre amendement. On ne peut laisser les préfets gérer cela seuls. Le cadre législatif doit être renforcé.
Monsieur le ministre, pour l'instant, vous arrivez les mains vides. Certes, vous travaillez, mais vous aviez le temps d'y réfléchir lors des États généraux de l'alimentation ; ils ont duré des mois et des reportages télévisés ont fait état de ce problème.