Monsieur Ruffin, nous avons travaillé, mais beaucoup de paramètres doivent être pris en compte. Je prendrai l'exemple du secteur viticole ; vous connaissez comme moi le prix d'un mètre carré dans certaines régions viticoles. Parfois, les parcelles touchent des habitations ou des équipements publics. Avec les producteurs et l'ensemble des professionnels, nous devons discuter et réfléchir à une rédaction de compromis d'ici à la séance. Je défends cette méthode plutôt qu'un avis défavorable sans autre explication. Nous tenons à porter un message politique clair, mais ne le ferons pas sans tenir compte des questions que se posent les professionnels et les exploitants.