Aujourd'hui, la publicité pour les vaccins vétérinaires est autorisée quand elle est destinée aux professionnels habilités à les prescrire. Cet amendement a pour objet de l'étendre aux éleveurs qui sont les premiers concernés : si le vétérinaire reste le seul responsable, par sa prescription, du choix du vaccin approprié, c'est bien l'éleveur qui fait le choix de vacciner ou non.
Or la vaccination des animaux est un puissant vecteur de diminution des antibiotiques, et donc un facteur de lutte contre l'antibiorésistance. Nous savons que les plans antibiotiques successifs ont permis des avancées.